Jean 16:19

19 Jésus donc, connaissant qu'ils voulaient l'interroger, leur dit: Vous vous interrogez les uns les autres sur ce que j'ai dit: Dans peu de temps vous ne me verrez plus; et de nouveau, un peu après, vous me verrez.

Jean 16:19 Meaning and Commentary

John 16:19

Now Jesus knew that they were desirous to ask him
This is a proof of Christ's deity, that he is the omniscient God who knows all things, what is in man, even the secrets of the heart; for he not only knew the whisperings of the disciples, and their inquiries among themselves about the sense of his words, but also their secret desires to ask him concerning it:

and said unto them, do ye inquire among yourselves of that I said, a
little while and ye shall not see me, and again a little while and ye
shall see me?
which he said before they could put the question to him, they being bashful, and backward, through fear or shame; and which not only confirms what is before observed of his omniscience, but also shows his readiness to open his mind and meaning, and explain himself to his disciples, as he does in the following words.

Jean 16:19 In-Context

17 Et quelques-uns de ses disciples se dirent les uns aux autres: Qu'est-ce qu'il nous dit: Dans peu de temps vous ne me verrez plus, et: De nouveau, un peu après, vous me verrez; et: Parce que je m'en vais au Père?
18 Ils disaient donc: Qu'est-ce qu'il dit: Dans peu de temps? Nous ne savons ce qu'il dit.
19 Jésus donc, connaissant qu'ils voulaient l'interroger, leur dit: Vous vous interrogez les uns les autres sur ce que j'ai dit: Dans peu de temps vous ne me verrez plus; et de nouveau, un peu après, vous me verrez.
20 En vérité, en vérité je vous dis, que vous pleurerez, et vous vous lamenterez, et le monde se réjouira; vous serez dans la tristesse; mais votre tristesse sera changée en joie.
21 Quand une femme accouche, elle a des douleurs, parce que son terme est venu; mais dès qu'elle est accouchée d'un enfant, elle ne se souvient plus de son travail, à cause de sa joie de ce qu'un homme est né dans le monde.
The Ostervald translation is in the public domain.