2 Corinthiens 9:1

1 Il serait superflu de vous écrire, au sujet de l'assistance qu'on destine aux Saints.

2 Corinthiens 9:1 Meaning and Commentary

2 Corinthians 9:1

For as touching the ministering to the saints
It looks at first sight as if the apostle was entering upon a new subject, though by what follows it appears to be the same; for by "ministering to the saints", he does not mean the ministry of the Gospel to them; nor that mutual assistance members of churches are to give each other; but either the fellowship of ministering to the saints, which the churches had entreated him, and his fellow ministers, to take upon them, namely, to take the charge of their collections, and distribute them to the poor saints at Jerusalem; or rather these collections themselves, and their liberality in them: with respect to which he says,

it is superfluous for me to write to you;
that is, he thought it unnecessary to say any more upon that head, because he had used so many arguments already to engage them in it, in the foregoing chapter; and because he had sent three brethren to them, who well understood the nature of this service, and were very capable of speaking to it, and of enforcing the reasonings already used; and more especially he judged it needless to dwell on this subject, for the reasons following.

2 Corinthiens 9:1 In-Context

1 Il serait superflu de vous écrire, au sujet de l'assistance qu'on destine aux Saints.

2 Car je connais votre bonne volonté; au sujet de laquelle je me glorifie de vous auprès des Macédoniens, leur disant que l'Achaïe est prête depuis l'année passée; et votre zèle a excité celui du plus grand nombre.

3 Toutefois j'ai envoyé nos frères, afin que nous ne nous soyons pas glorifiés de vous en vain à cet égard, et que vous soyez prêts, comme je l'ai dit;

4 De peur que, si les Macédoniens venaient avec moi, et ne vous trouvaient pas prêts, cela ne tournât à notre confusion, pour ne pas dire à la vôtre, sur ce sujet dont nous nous sommes glorifiés.

5 J'ai donc estimé nécessaire de prier les frères d'aller d'avance chez vous, et d'achever de préparer la libéralité que vous avez déjà promise, afin qu'elle soit prête comme une libéralité, et non comme le fruit de l'avarice.