1 Samuel 9:3

3 Or, les ânesses de Kis, père de Saül, s'étaient égarées; et Kis dit à Saül, son fils: Prends maintenant avec toi un des serviteurs, lève-toi, et va chercher les ânesses.

1 Samuel 9:3 Meaning and Commentary

1 Samuel 9:3

And the asses of Kish, Saul's father, were lost
Had got out of the stables or fields, in which they were kept, and strayed from thence:

and Kish said to Saul his son, take now one of the servants with thee,
and arise, go seek the asses;
he chose not to send his servants only, who might not be so careful and diligent in searching for them, but his son, and not him alone, but a servant with him to wait upon him, and assist him. And it was quite agreeable to the simplicity of those times for persons of equal or greater substance to be employed in such an affair; asses made a considerable part of the wealth and riches of men, were rode upon by persons of quality, and were fed and taken care of by the sons of dukes and princes; see ( Job 1:3 ) ( Judges 5:10 ) ( Genesis 36:24 ) . The Jews

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FOOTNOTES:

F23 have a tradition, that this servant was Doeg the Edomite.

F23 Hieron. Trad. Heb. in Paralip, fol. 83. A.

1 Samuel 9:3 In-Context

1 Or il y avait un homme de Benjamin, nommé Kis, fils d'Abiel, fils de Tséror, fils de Bécorath, fils d'Aphiach, fils d'un Benjamite, et vaillant homme.

2 Il avait un fils, nommé Saül, jeune et beau, et aucun des enfants d'Israël n'était plus beau que lui; et, des épaules en haut, il dépassait tout le peuple.

3 Or, les ânesses de Kis, père de Saül, s'étaient égarées; et Kis dit à Saül, son fils: Prends maintenant avec toi un des serviteurs, lève-toi, et va chercher les ânesses.

4 Il passa donc par la montagne d'Éphraïm, et il passa par le pays de Shalisha, mais ils ne les trouvèrent point; puis ils passèrent par le pays de Shaalim, et elles n'y étaient pas; ils passèrent ensuite par le pays de Benjamin, et ils ne les trouvèrent point.

5 Quand ils furent venus au pays de Tsuph, Saül dit à son serviteur, qui était avec lui: Viens, et retournons-nous-en, de peur que mon père ne cesse de s'inquiéter des ânesses, et ne soit en peine de nous.