2 Chroniques 20:22

22 Et au moment où ils commencèrent le chant et la louange, l'Éternel mit des embuscades contre les enfants d'Ammon, et de Moab, et ceux de la montagne de Séir, qui venaient contre Juda, et ils furent battus.

2 Chroniques 20:22 Meaning and Commentary

2 Chronicles 20:22

And when they began to sing and to praise
They sung more or less all the way they went, from the time they set out, but when they came nearer the enemy, they sung louder and louder: the Lord set ambushments against the children of Ammon, Moab, and Mount
Seir, which came against Judah;
some take them to be their own ambushments, which they set for the destruction of Judah; but the Lord turned them against their own confederates, mistaking them for Jews; so the Vulgate Latin version,

``the Lord turned their ambushments against themselves;''
or rather these were angels, who appeared in the form of the Edomites, and so fell upon the Ammonites and Moabites: and they were smitten;
by them, many of them were destroyed; hence it follows,

2 Chroniques 20:22 In-Context

20 Puis, le matin, ils se levèrent de bonne heure et sortirent vers le désert de Thékoa; et comme ils sortaient, Josaphat se tint là et dit: Juda et vous, habitants de Jérusalem, écoutez-moi: Croyez en l'Éternel votre Dieu, et vous serez en sûreté; croyez en ses prophètes, et vous réussirez.
21 Puis, ayant délibéré avec le peuple, il établit des chantres de l'Éternel, qui célébraient sa sainte magnificence; et, marchant devant l'armée, ils disaient: Louez l'Éternel, car sa miséricorde demeure à toujours!
22 Et au moment où ils commencèrent le chant et la louange, l'Éternel mit des embuscades contre les enfants d'Ammon, et de Moab, et ceux de la montagne de Séir, qui venaient contre Juda, et ils furent battus.
23 Les enfants d'Ammon et de Moab se levèrent contre les habitants de la montagne de Séir, pour les vouer à l'interdit et les exterminer; et quand ils en eurent fini avec les habitants de Séir, ils s'aidèrent l'un l'autre à se détruire.
24 Et quand Juda arriva sur la hauteur d'où l'on voit le désert, ils regardèrent vers cette multitude, et voici, c'étaient des cadavres gisant à terre, sans qu'il en fût échappé un seul.
The Ostervald translation is in the public domain.